Un sophrologue digne de ce nom!

La sophrologie est une méthode de développement personnel populaire. Le titre de sophrologue Caycédien est une garantie de cursus pour l’emploi de la méthode caycédienne. Ce qui est relatif au code de déontologie de la sophrologie. Cependant, il est important de bien choisir son sophrologue pour aboutir aux besoins et objectifs visés.

Habituellement, il faut faire confiance à son bon sens. Et cela lorsqu’ on est à la recherche d’un professionnel du paramédical. Pour ce faire, après avoir ciblé un sophrologue, le mieux c’est de lui poser quelques questions. Histoire de voir si on se sent à suffisamment l’aise pour commencer une séance.

Un bon professionnel du métier se doit de répondre aux questions basiques. Il doit être en mesure de vous persuader d’entamer une première session, sans crainte et sans appréhension. Autrement dit, on doit se sentir en confiance. C’est une condition essentielle au lâcher-prise. Donc, oubliez les titres de rallonges ou les titres pompeux vides de sens.

Les critères basiques des médecins et thérapeutes

Les cursus et l’établissement de formation : les études ont un impact majeur sur les pratiques professionnelles du sophrologue. Il est donc nécessaire de revoir les références de l’école en question. Aussi de vérifier si elle bénéficie d’une certification de qualité. Ou si elle délivre des certificats de titre de sophrologue de qualité. Les valeurs d’un bon sophrologue sont les signes d’une bonne santé de l’établissement. Une formation de qualité est un signe de notoriété. Comme tout autre médecin, il se présente en tant que sortant d’une telle ou telle faculté. D’où un sophrologue prisé par les clients.

La déontologie du sophrologue: reconnaitre un bon sophrologue par son respect des concepts et fondements de sa discipline. C’est à dire respecter des règles d’éthique et un code de déontologie spécifique. Il se reconnait par son ouverture, son accueil sans à priori et sans jugement ni de préjugés. La bienveillance et l’objectivité font aussi partie de leurs principes fondamentaux. Un sophrologue digne de ce nom reconnait ses propres limites et celles des clients.

Un sophrologue spécialiste : les sophrologues généralistes se manifestent par des séances de350 heures sur 2 ans. Pour des demandes plus spécifiques, il y a des sophrologues spécialistes. Des professionnels spécialisés dans des domaines pointus.

Les vertus personnelles

Deux critères pour reconnaitre un bon sophrologue: le professionnalisme et l’exercice du métier avec sérieux. Ces références se voient dans un cadre de travail bien établi. Donc un lieu de suivi propre et propice à l’accompagnement et une méthodologie. C’est-à-dire un programme qui répond aux attentes et besoin des clients. Dans ce cadre, un dossier client comprenant le suivi et l’anamnèse est aussi classifié. Enfin, un bon sophrologue se reconnait aussi par des tarifs clairs et affichés.

La bouche à oreille est une excellente source d’information pour définir un bon sophrologue. Leurs réputations les précèdent. On peut donc se référer aux conseils d’un proche ou aux recommandations d’un professionnel. Une fois trouvé, on peut établir un premier contact pour mesurer les qualités du sophrologue. Afin de reconnaitre s’il est le bon, ou de choisir un autre par rapports à vos propres besoins.